Les indicateurs de richesse alternatifs, une fausse bonne idée ?

Réflexions sur les incertitudes de la gestion par le chiffre

Alain Caillé, 25 octobre 2010

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Résumé :

Parmi les remèdes à apporter à la domination de l’économie et du marché sur nos vies, l’idée d’adopter une autre convention de richesse que le PIB occupe une place éminente, encore renforcée par le récent « rapport Stiglitz ». Mais n’est-ce pas, en définitive, une fausse bonne idée qui, loin de l’atténuer, risque d’accroître encore le mal principal de nos sociétés : la soumission de toutes nos actions, qu’elles soient marchandes, administratives ou bénévoles à la dictature de l’évaluation quantitative systématique ? A.C.